DÉCOUVERTES MUSICALES - 2021

MES DÉCOUVERTES MUSICALES

2021


Cette année a été beaucoup plus calme que les précédentes, sans division entre découvertes majeures et coups de cœurs, car j'ai surtout passé mon 2021 à approfondir les découvertes de l'an dernier et à écouter ce que je connaissais déjà. Ceci dit, une année sans découvertes musicales n'est pas une année, donc des découvertes il y a quand même eu, et pas des moindres...

Comme chaque année, faites-vous un thé et rejoignez-moi à travers ma rétrospective de découvertes musicales !


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Grimes

Expérimental - Canada

Dans la famille des artistes qui ont leur propre genre musical, je demande Grimes...

  

Je pourrais citer Wikipédia et dire que Grimes mélange darkwave, dream pop, synthpop, electro... mais ce serait si réducteur ! Grimes est complètement expérimentale et peut passer d'un album gothique psychédélique (en treize ans de vie de goth je ne savais même pas qu'une telle association pouvait exister !) à un album survolté à un album planant à un album plus conventionnel, avec des chansons totalement bizarres et excentriques, aux paroles incompréhensibles car sa voix sert souvent d'instrument à créer des sons plutôt qu'à chanter des paroles, chose qui est d'autant plus accentuée par ses chansons en charabia, en chinois ou en russe. Et pour couronner le tout, sa présence scénique est complètement phénoménale.

  

Je suis énormément reconnaissante à moi-même d'avoir laissé une seconde chance à Grimes, que je n'avais pas trop aimé à la première écoute. Deux semaines plus tard, boum, coup de foudre à vie. 

À écouter également : Be a bodyVenus FlyKill v MaimGenesis ― My name is dark ― We appreciate powerVenus in fleursDragvandil Dream Fortress


Lethian Dreams

Doom metal atmosphérique - France


Après un premier album très (trop) Draconian-esque en 2009, Lethian Dreams abandonne sa voix masculine growlée et ne laisse dans ses albums que la voix féminine éthérée - un choix qui confère au reste de la discographie du groupe une texture particulière.

  

Qu'il soit teinté de black metal comme dans Red Silence Lodge ou qu'il soit d'une douceur feutrée comme dans leur album le plus récent, A Shadow of Memories, Lethian Dreams livre un doom metal atmosphérique et éthéré hors norme. Au fond, la musique de Lethian Dreams peut sembler relativement simple, mais c'est justement là son charme. Ornée d'une voix de sirène des ténèbres qui récite des paroles presque indiscernables, Lethian Dreams semble particulièrement sincère dans sa démarche et créé des paysages sonores délicats et intimes, d'une mélancolie et d'une vulnérabilité bien plus humaine qu'artistique.

À écouter également : Elusive ― Tidal ― Dust ― Satyrs

Pour fans de : Draconian, Theatre of Tragedy


Florence + The Machine

Indie/baroque pop-rock symphonique - USA

En 2016, Stand by Me fût révélée comme la chanson thème de Final Fantasy XV. Pendant les six ans qui ont suivi l'attente de mon PC gaming capable de lire ce chef-d'œuvre, j'écoutais de temps en temps cette chanson que j'aimais beaucoup... et puis est venu le jeu, qui m'a transpercé de toutes parts, donnant tout un véritable poids émotionnel à Stand by Me. Après avoir découvert deux autres chansons de ce même jeu, je me suis lancée à la découverte de Florence en elle-même, et ce fût un coup de cœur imminent, des étoiles plein les yeux dès les premiers instants.

 

Florence + The Machine, c'est des chansons extrêmement théâtrales et cinématiques, et ce n'est pas pour rien que leur musique semble être souvent reprise dans des films, séries et jeux vidéo. La voix surpuissante et parfois Siouxsie-esque de Florence est accompagnée de paroles créatives et narratives et d'un pop-rock aux accents à la fois symphoniques et indie, pour un résultat impressionnant, toujours débordant d'énergie, de mystère, d'émotion et de poésie - des scènes de film qu'on se joue dans notre propre imagination, encapsulées dans un album.

À écouter également :  No Light, No LightWhat kind of manHeartlines Rabbit HeartThird Eye ― Seven Devils ― Never Let me Go ― The dog days are over

Chansons de Final Fantasy XV : Stand by meToo much is never enough I will be


Crippled Black Phoenix

Post-rock - UK

Même si je trouve assez puérile et arrogante la façon dont le groupe revendique son unicité, il faut se rendre à l'évidence : ils ont raison. Crippled Black Phoenix est un groupe de post-rock dont les albums sont très expérimentaux, variés, et pas très faciles à aborder. Pour tout avouer, la majorité de leur discographie m'est encore plutôt obscure, et ce malgré de nombreuses écoutes. Seul en ressort un coup de cœur majeur, Great Escape, sorti en 2018, dont je me suis procuré le CD tant je l'ai immédiatement adoré. Cet album en particulier valse entre un psychédélisme expérimental et une certaine mélancolie, mélange qui ne me laisse pas insensible. 

 

À écouter également : We forgotten who we are ― Lost ― Rain Black, Reign HeavyTimes, they are A'Raging ― Painful Reminder ― Cry of Love


Remina

Doom metal atmosphérique - Nouvelle-Zélande

Heike Langhans, la sirène cosmico-métallo-gothique de Draconian, ISON, Light Field Reverie et Lorelei, s'allie à Mike Lamb, guitariste de Sojourner, dans un tout nouveau projet où se mêlent doom et gothic metal et atmosphères cosmiques. Leur but est de se détacher du format traditionnel des albums et de proposer un single par mois jusqu'à en faire un album - et les trois singles sortis à ce jour sont tout simplement magnifiques.



Pour fans de : Light Field Reverie, ISON


Boy George & Culture Club

New wave, synthpop, indie pop - UK


Dans la catégorie "mieux vaut tard que jamais", je demande Culture Club ! Il m'aura fallu cosplayer un personnage inspiré par Boy George pour redécouvrir cet artiste à la chanson culte que je connais depuis l'enfance. Je ne m'attendais pas du tout à accrocher autant, mais ce n'est au final pas une surprise puisque je suis déjà une grande fan d'Indochine et de New Order, piliers de la new wave des 80's comme de la new wave moderne.  

  

Malgré une discographie plutôt inégale, la musique de Culture Club est très entraînante et, je dois le dire, vachement addictive, le tout avec une voix exceptionnellement belle. Au-delà de la musique, Boy George est une personne très attachante et intéressante, à l'esthétique unique et inspirante. Quant à sa voix, elle a beau avoir changé depuis les années 80, elle reste à mon sens toujours très belle, simplement différente. C'est donc un plaisir de découvrir en même temps leur musique de 1982 et de 2021, tel un surréaliste voyage temporel...

 

Culture Club : White Boy ― Time (Clock of the heart) ― Miss me blind ― Church of the poison mind ― Mystery Boy ― Sexuality ― Confidence Trick

Boy George : Isolation ―  We know what we want ― Butterfly on a wheelDon't wanna see myself 


Twin Tribes / Traitrs

Post-punk - USA / Canada

Voici deux groupes qui n'ont rien à voir l'un avec l'autre, mais mon avis est le même : deux groupes de post-punk moderne qu'il serait bon d'entendre à 3h du matin dans une soirée goth, et qui participent parfaitement bien à la revitalisation de la scène post-punk. Des chansons qui s'approprient parfaitement le genre sans sonner comme des copies de mes autres groupes préférés anciens comme modernes !

 

Twin Tribes : Heart & Feather ― The River Shadows
Traitrs :
 The Lovely Wounded ― Lya ― Oh Ballerina

Pour fans de : She Past Away, Lebanon Hanover


NNHMN

Minimal synth, EBM - Allemagne

NNHMN, à lire "non human", est pour moi un magnifique ajout à Rue Oberkampf que j'ai découvert l'an dernier, avec leur électronique et leur voix minimalistes, sombres et entraînantes.

 

À écouter également : Vampire ―  Shadow in the darkPerigee Syzygy

Pour fans de : She Past Away, Selofan, Rue Oberkampf, oOooO


Tool

Metal progressif - USA


Dans la catégorie "je connais de nom depuis toujours mais je n'avais jamais écouté avant et je le regrette amèrement", je demande Tool. Avec leurs longues pistes distordues, décousues, atmosphériques et psychédéliques, Tool jouent sur les limites des genres musicaux pour créer une musique résolument unique et extrêmement complexe, tout en étant très cohérent et mélodieux. 

 

À écouter également : 7empestSchism ― Lateralus ― Fear Inoculum


Pastel Ghost

Synthpop, dream pop - USA


Éthérée et psychédélique, Pastel Ghost m'évoque à la fois une soirée calme dans mon salon et une soirée mouvementée dans un club, le tout baignée de néons violets, dans une rêverie planante au beau milieu de la nuit. L'ambiance de Pastel Ghost, qu'elle-même qualifie de "dreamrave", est toute particulière, surtout sur son album Abyss dont je ne cesse d'être amoureuse.

  

À écouter également :
Dark BeachEmbrace ― Abyss ― Sakura Possession


Autumn Orange

Lo-fi thématique - USA


Je n'y connais rien en lo-fi et ce n'est pas spécialement ma tasse de thé, mais la lo-fi d'Autumn Orange, je ne peux m'en séparer ! C'est un.e artiste qui fait des albums de lo-fi thématique centrés sur Critical Role, websérie de jeu de rôle. Chaque album est dédié à un personnage et utilise des citations, donc attention aux spoilers... à écouter avec précaution si comme moi vous êtes un critter, un fan de Critical Role qui suit l'histoire. Mais à écouter sans modération si vous êtes là que pour la musique !


 



Playa tech


À l'image de l'acid techno que j'ai découvert l'année dernière, la playa tech est une famille musicale que j'écoute en playlist, sans faire attention aux artistes. Composé de tech, deep & organic house, la playa tech est pour moi l'équivalent plus lent et minimaliste de l'acid techno, avec la même ambiance hypnotisante et psychédélique - ce qui est tout à fait normal quand on sait que ce genre est né de la culture du Burning Man, événement artistique au fin fond d'un désert américain où la liberté totale d'explorer l'art, et la conscience et l'inconscient y règne en maître.

Voici la playlist Spotify sur laquelle j'ai découvert la majorité de mes pistes coup de cœur. Pour les utilisateurs de YouTube, je vous invite à écouter Arrival et Two Suns in the Sky.




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ALBUMS DE L'ANNÉE 


Wardruna - Kvitravn

Qui l'eût cru, qu'après sa trilogie devenue culte dans le monde du pagan folk, Wardruna réussirait à sortir un album aussi puissant ? Non pas que je doutais de leur capacité, loin de là, mais cette trilogie mettait la barre si haut ! Et voilà qu'au final, Kvitravn est, selon moi, l'album le plus intense de la discographie de Wardruna.

Étant trop émotionnellement impliquée, je ne peux malheureusement pas faire de commentaire plus élaboré. Toujours est-il que Kvitravn, qui a laissé de côté les runes de la mythologie scandinave pour s'inspirer plus simplement de la nature et de la vie en général, est une véritable claque. Aucun autre album n'aurait pu mieux commencer 2021 que celui-ci. 




Potochkine -
 Sortilèges

Depuis que j'ai découvert Potochkine sur scène en 2019, j'attendais avec impatience leur nouvel album - et que puis-je dire d'autre que l'attente en valait délicieusement le coup ?

Au croisement entre darkwave, coldwave, EBM, minimal synth et dark electro, Sortilèges est un explosif envoûtement. Aussi bien dansant qu'atmosphérique, et toujours avec la fibre poético-théâtrale si chère au duo, ce nouvel album est ni plus ni moins qu'une réussite totale, qui, comme son prédécesseur, est complètement addictive.



Lana del Rey - Chemtrails over the Country Club

Avec sa musique minimaliste centrée autour du piano et de la guitare acoustique, Chemtrails s'écoute comme la prolongation de Norman Fucking Rockwell sorti il y a deux ans. Il ne s'agit pas pour autant d'une redite, loin de là. C'est un album qui marie grande délicatesse et subtil psychédélisme, tel un vertige dû à la chaleur d'un mois de juillet. Entre ses sonorités plutôt expérimentales et son chant encore jamais vu, Chemtrails est un album audacieux - et ça fonctionne si bien !




Lana del Rey - Blue Banisters

Deux albums à seulement six mois d'écart, voilà qui est bien surprenant venant de Lana del Rey... ce qui n'enlève rien du tout à sa qualité ! Tout étant dans la continuité de Chemtrails, Lana ne se prive pas de chansons très surprenantes, aux rythmes et constructions décousues, au chant atypique et aux mélodies à la fois douces et chaotiques, ce qui contribue à la savoureuse ambiance psychédélique qu'elle créé, volontairement ou non, depuis quelques albums. Blue Banisters est un régal - peut-être même un peu plus que Chemtrails, ce qui est très positif.



Evanescence - The Bitter Truth

Pour un album teasé par sa chanteuse comme étant "heavy et dark", The Bitter Truth est une énorme déception. Après trois premières chansons pas révolutionnaires mais plutôt prometteuses, c'est la descente. Cet album m'est fade. Les chansons tournent en rond, la musique est répétitive à l'extrême, la construction est la même partout et les mélodies chantées, malgré la voix toujours sublime et impressionnante d'Amy Lee, se ressemblent toutes. Quand elles ne sont pas complètement indiscernables, les paroles laissent à désirer. Face aux très lourdes guitares de Fallen et la théâtrale obscurité de The Open Door, le rock simpliste de Bitter Truth est aussi bien aux antipodes de mes goûts généraux que de mon rapport à Evanescence.



the GazettE - MASS

Je me suis rendue compte que je n'avais pas fait de review pour l'album précédent, Ninth, sorti il y a trois ans. Eh bien, en quelques mots : quand je l'écoute je le trouve très bon, mais je l'oublie juste après. Agréable mais malheureusement pas mémorable...

C'est tout l'inverse pour ce nouvel opus. the GazettE ose enfin de changer un peu leur formule en ajoutant des mélodies électroniques légères mais qui portent le rythme des chansons - sans pour autant rendre plus doux le metal bourrin si représentatif du groupe, loin de là. Cet album est donc constitué de chansons particulièrement entraînantes, et mémorables dès la première écoute ! Je pense en particulier à Daku, Nox et au single Blinding Hope

Ce MASS est donc pour moi une réussite immédiate, qui relève le niveau de l'agréable mais oubliable Ninth. Mon seul regret : Moment, une ballade qui casse complètement le rythme frénétique de l'album et qui n'apporte rien du tout par rapport à la liste de ballades cultes et uniques du groupe.


Hante. - Morning Tsunami

Pour ce nouvel album, Hante mise sur un minimalisme à dominance instrumentale, pour un résultat absolument convainquant et très atmosphérique. Je n'ai que peu de choses à dire sur Morning Tsunami, car je pense que cet album une saura mieux parler de lui-même que moi. Un album que j'ai écouté de nombreuses fois depuis sa sortie !





Kaelan Mikla - Undir Köldum Norðurljósum

Malgré l'ambiance quelque peu atmosphérique qui m'est tout à fait agréable, le trio islandais délivre un album bien en-deçà de mes attentes. Les chansons sont fades, sans âme, et s'enchaînent sans que je ne puisse les différencier, sans même parler des cris démoniaques du single qui me mettent mal à l'aise. Je suis également déçue qu'elles ait invité Alcest, tout ça pour qu'au final on ne ressente pas vraiment sa patte pourtant très bien discnerable ailleurs. Cet album est à l'image de sont titre à rallonge : peu mémorable.



Swallow the Sun - Moonflowers

Que dire d'autre que "magnifique" ? Swallow the Sun délivrent un album sublime en tous points. Moins atmosphérique et calme que le précédent, à la fois plus rythmé et plus mélodique, Moonflowers renoue quelque peu avec le style des albums précédant leur dernier opus When a shadow is forced into the light, sans pour autant faire une redite, loin de là. De plus, le duo avec Cammie Gilbert (que l'on retrouve également sur le nouvel album d'ISON ci-dessous) et la piste de clôture qui puise directement dans le black metal viennent renforcer l'aspect à la fois très sombre et très mélodique que Swallow the Sun maîtrise à la perfection. 

Moonflowers vient aussi avec un CD bonus d'arrangements classiques, qui, bien qu'ils ne soient pas fondamentalement nécessaires, ne font que sublimer cet album et la touche symphonique qu'on y entend tout du long, en plus de transférer la beauté du doom metal vers un tout autre genre en en conservant l'essence. 

Une réussite absolue, mais est-ce une surprise ? Seule déception : j'aimerais qu'il soit plus long !


ISON - Aurora

Contrairement à une certaine partie des fans, et même si je suis terriblement accro aussi bien à sa voix qu'à Draconian et Light Field Reverie, je n'étais pas contre une ISON sans Heike Langhans, qui a décidé de laisser le projet dans les seules mains de Daniel Änghede. Ma seule préoccupation était la suivante : un album à 8 vocalistes arrivera-t-il à maintenir une ambiance immersive et atmosphérique, qui est pour moi l'essence d'ISON ? Le changement de vocaliste à chaque chanson ne va-t-il pas me déranger ? Dès les quelques premières chansons de ma première écoute, mes craintes se sont envolées : même si l'on peut facilement entendre que ce sont huit chanteuses différentes, la cohésion est tout simplement parfaite et il n'y a aucune cassure dans l'immersion. D'ailleurs, pour mon plus grand plaisir, le départ de Heike a permis à Daniel de mettre en avant sa propre voix et d'en montrer le potentiel angélique, que j'avais toujours trouvé sous-exploité dans les précédents opus.

Sans pour autant oublier ses racines ou être réellement différent, cet album se détache de ses deux prédécesseurs en renouant avec des sonorités plus présentes sur le premier, Cosmic Drone, c'est-à-dire en faisant d'un mur de son de guitares très saturées et de basse l'élément prédominant de l'album, contrairement à Andromeda Skyline et Inner Space où ce rôle était attribué aux synthés.

Aurora est délicieusement long et bénéficie d'une superbe cohérence, presque toutes les pistes étant liées par une batterie similaire, les mêmes guitares saturées et une narratrice qui nous invite à la méditation. Aurora s'écoute donc aussi bien comme huit pistes séparées que comme une seule longue piste.

Ce nouvel album m'est une réussite absolue, d'une beauté transperçante, d'une sérénité unique au monde - et en tant que quelqu'un dont la relation à ISON va bien au-delà de la simple musique, je n'ai absolument pas été déçue. J'ai avidement attendu du nouvel ISON pendant deux ans, et l'attente en valait largement la peine, car je vais prendre un très grand plaisir à savourer ce chef d'œuvre pendant le reste de ma vie...


--- STATS SPOTIFY ---

De janvier à décembre

460 heures | 27 629 min 
437 artistes | 2 333 titres

Artistes les plus écoutés :

1. Grimes
2. Yoko Shimomura
3. Autumn Orange
4. Nobuo Uematsu
5. Lethian Dreams
6. Lana del Rey
7. Florence + The Machine
8. Crippled Black Pheonix
9. Swallow the Sun
10. Poets of the Fall



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Et voilà pour cette année ! 
Comme chaque année, je vous invite à me dire si cet article vous a fait découvrir de nouveaux artistes, ou si j'ai justement découvert un artiste que vous aimez déjà. Je vous invite aussi à réfléchir à vos propres découvertes de l'année...

Prenez bien soin de vous en cette période de transition d'années,
Musicalement vôtre,
Nephelith

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Commentaires

  1. Merci pour cette rétrospective et de façon général tout ce que tu m'as fait découvrir cette année encore !
    L'année a bien été remplis et je suis impatient de voir ce que 2022 réserve ♥

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